Plusieurs services de l'État font, depuis 24 heures, l'objet d'attaques informatiques d'une "intensité inédite", mais leur impact à ce stade "a été réduit" et l'accès aux sites de l'État "rétabli", a appris l'AFP lundi auprès de Matignon. Parmi les groupes de hackers qui ont revendiqué ces attaques, Anonymous Sudan, soutien de la Russie et de causes islamistes.