La Russie a lancé mardi plusieurs avis de recherche concernant des responsables baltes, dont la Première ministre estonienne, Kaja Kallas. Toutes ces personnalités sont accusés d’être responsables de décisions perçues comme "une insulte à l’Histoire" par Moscou. Un acte d’accusation avant tout symbolique, visant à réaffirmer qu’un seul discours historique est possible – celui du Kremlin –, selon les expertes interrogées par France 24.