En France, un petit nombre de viticulteurs expérimentent depuis quelques années l'usage de "cépages hybrides" plus résistants aux maladies, comme le mildiou ou l'oïdium. Leur objectif : s'affranchir des pesticides, omniprésents dans la vigne traditionnelle. Mais face à une profession attachée à son patrimoine et des consommateurs à convaincre, ces nouvelles pratiques peinent à se faire une place.