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À la Bourse de travail où les syndicalistes se sont dirigés après le Centre Islamique de Donka, des séries de rencontres ont eu lieu.
D’abord, c’est le président du Conseil National du Dialogue Social (CNDS), Dr Alya Camara qui a été reçu, avant de sortir bredouille de la salle. Après lui, c’est au tour des leaders religieux, le Grand Imam de la mosquée Fayçal et l’Archevêque de Conakry qui se sont présentés aux syndicalistes cet après-midi du lundi, 26 février 2024.
Elhadj Mamadou Saliou Camara et Monseigneur Vincent Koulibaly, aussitôt rentrés sont sortis sans aucune communication.
Alors qu’ils devraient faire un retour au mouvement syndical guinéen qui reste campé sur la libération du journaliste Sékou Jamal Pendessa, ce après leur tête-à-tête avec le Président de la transition, ces hommes de Dieu se sont dirigés chez le secrétaire général à la présidence, le Général de Brigade Amara afin de poursuivre les débats.
Alors qu’ils devraient faire un retour au mouvement syndical guinéen qui reste campé sur la libération du journaliste Sékou Jamal Pendessa, ce après leur tête-à-tête avec le Président de la transition, ces hommes de Dieu se sont dirigés chez le secrétaire général à la présidence, le Général de Brigade Amara afin de poursuivre les débats.
La libération du syndicaliste Pendessa ou pas, une source nous confie qu’il va falloir revoir la décision du tribunal qui a condamné le journaliste à 6 mois de prison dont 3 assortis de sursis.
» Monseigneur Vincent Koulibaly et le gand Imam ont dit avoir rencontré le Président Doumbouya, le secrétaire général du ministère de la fonction publique et le président du Conseil National du Dialogue Social ( CNDS). De leur retour, ils ont confié aux syndicalistes que la libération de Sékou Jamal Pendessa pourrait faire l’objet d’une grâce présidentielle par décret, mais son avocat aurait déjà interjeté appel. Il sera donc question de revoir la décision de la justice, pour voir dans quelle mesure reprogrammer le procès à nouveau. Cependant, le syndicat qui maintient toujours son mot d’ordre de grève, a exigé quant à lui, la libération de leur camarade dans les 72 heures qui suivent. Au contraire, la grève générale et illimitée, déclenchée ce lundi, va être poursuivie jusqu’à deux (2) mois », a confié notre source.
En attendant le communiqué officiel du mouvement syndical guinéen, l’avis de chaque syndicat est en train d’être recueilli autour d’une table ronde qui se fait dans la salle de réunion du bâtiment abritant le siège de la bourse de travail.
Libreopinionguinee avec Mediaguinee