Depuis le 20 mai, des comptes Twitter et Facebook affirment qu’une ONG aurait organisé une “simulation de pandémie de variole du singe” qui serait à l’origine de la découverte récente de plusieurs cas de cette maladie. Leur preuve : une capture d’écran d’un rapport publié par le Nuclear Threat Institute. En réalité, cette simulation était entièrement virtuelle et a eu lieu en mars dernier. Elle n’a donc aucun lien avec les cas de variole du singe découverts récemment.