Riek Machar, le vice-président du Soudan du Sud et chef de l'opposition sera jugé. Il est accusé de six chefs d’inculpation, dont des meurtres et des crimes contre l’humanité. Une décision fortement décriée par son parti, le SPLM-IO. Il y voit une mesure politique qui met en péril l’accord de paix ayant permis de stabiliser le pays en 2018.