Les miliciens irakiens des Brigades du Hezbollah sont accusés par Washington d’être à l’origine de l’attaque qui a fait trois mort et une quarantaine de blessés, le 28 janvier, sur une base américaine en Jordanie. Symbole de l’influence iranienne en Irak, cet influent groupe armé pro-Iran échappe à l’autorité du pouvoir irakien dont il dépend en théorie.