Après le meurtre du frère d’Amine Kessaci, militant de la lutte contre le narcotrafic, les autorités estiment qu’un point bascule a été franchi. L’Etat tente de faire face à la menace du narcobanditisme avec la mise en place en janvier du Parquet National Anticriminalité Organisée. Tiendra-t-il ses promesses ? La polémique enfle après les propos du chef d’état-major des armées qui déclare qu’il « faut accepter de perdre nos enfants » en cas de guerre.