Le ministère de la Santé affirme, vendredi, n'avoir "aucun moyen" juridique pour "réquisitionner" les stocks de contraceptifs féminins destinés à l'Afrique subsaharienne que l'administration américaine prévoit de détruire. Plusieurs organisations et personnalités politiques s'opposent à leur incinération qui doit se produire dans un lieu encore inconnu.