Alors que Emmanuel Macron a reconnu que la France n'a pas voulu arrêter le génocide contre les tutsis au Rwanda, 30 ans après, des associations traquent et archivent tous les documents liés aux massacres. Elles veulent découvrir de nouveaux éléments, mais surtout mieux conserver les preuves du passé. Kigali veut numériser des milliers d’archives, mais a aussi mandaté une ONG pour enregistrer le témoignage des survivants encore en vie.