Au Cameroun, le ton monte à plus d’un an de l’élection présidentielle prévue en octobre 2025. Dans un communiqué, le ministre de l’administration territoriale met en garde les acteurs politiques de l’opposition qui tentent de s’unir en vue de l’élection présidentielle, prévue normalement en 2025. Paul Atanga Nji, parle de “casus belli “, pour toute initiative allant dans le sens d’une coalition des partis de l’opposition