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Dans le souci de désamorcer la paralysie qui secoue les établissements scolaires publics à travers le pays depuis ce lundi, 1er décembre 2025, suite à la grève générale et illimitée déclenchée par la FSPE et le SNE, le gouvernement fait profil bas et décide de s’asseoir autour de la table de discussions pour, dit-on, trouver une issue favorable à la plateforme revendicative de l’intersyndicale.
Les membres du gouvernement, à savoir le ministre de la Fonction publique, Faya François Bourouno, celui de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, Alpha Bacar Barry, et Jean Paul Cedy de l’Enseignement Pré-universitaire et de l’Alphabétisation, sont déjà installés à la table des négociations.
Cette réunion, qui se tient dans les locaux de la fonction publique, vise principalement à faire des contre-propositions à l’intersyndicale de l’éducation, notamment concernant la signature du statut particulier révisé de l’éducation.
Contrairement au autres structures syndicales qui ont déclenché la grève notamment la FSPE et le SNE, et au SNAESURS qui a pris la décision de se retirer des pourparlers, la délégation du SLECG est quant à elle bien représentée à cette rencontre cruciale.
La fédération syndicale est représentée par Aboubacar Soumah, Kadiatou Bah, Moustapha Soumah et Mohamed Bangoura ‘’Roméo’’, venus écouter les contre-propositions du gouvernement.
Toutefois, une menace plane sur l’issue de ces discussions. Si l’intersyndicale n’arrive pas à obtenir satisfaction, notamment la signature effective du statut particulier révisé de l’éducation, le SLECG devrait, dès ce soir, rejoindre le mouvement de grève général et illimitée.
Rappelons le, les discussions ont commencé à 15 heures 30, avec la facilitation du président du conseil national du dialogue social CNDS.
À suivre !
Alhassane Fofana
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il y a 1 heur
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