L'Algérie a opposé lundi 17 mars une fin de non-recevoir à la liste d'Algériens expulsables fournie par Paris ces derniers jours, réitérant son "rejet catégorique des menaces, velléités d'intimidation, injonctions et ultimatums" venant de France. Bruno Retailleau a promis lundi soir une "réponse graduée", en disant "regretter que l'Algérie refuse d'appliquer le droit international".