Et si l’Afrique devenait l'audacieux laboratoire du cinéma de demain ? De Marrakech à Lagos en passant par Dakar, une nouvelle génération de cinéastes s’empare des outils d'IA, de Kling à Runway en passant par Sora. "C'est un nouveau langage à la croisée du code et de l'émotion qui permet à un nombre croissant d'artistes de s'exprimer" estime Hussein Dembel Sow, juré du prochain Nigerian Artificial Intelligence Film Festival, et qui ne manque ni de talent, ni d'imagination.