Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a averti que les frappes meurtrières mardi à Gaza n'étaient "que le début", soulignant que la pression militaire était indispensable pour assurer la libération des otages encore aux mains du Hamas. Ces frappes, qui ont fait plus de 400 morts selon le Hamas, sont les premières d'une telle ampleur et violence depuis l'entrée en vigueur d'un accord de cessez-le-feu le 19 janvier.